Périlleuse pour les deux-roues et inconfortable pour les autres usagers, la traversée de la place Garibaldi, entre les rues Cassini et du Docteur-Ciaudo. C’est ainsi que Nice-matin décrit la traversée de la place Garibaldi.
Cette portion ondule, se déforme, les pavés s’enfoncent, se déchaussent, et les reprises en asphalte noircissent le tableau en se déformant encore, poursuit le quotidien.
En fait, on vient de se rendre compte que cet axe est tout simplement victime du flot de circulation, soit 8.240 véhicules par jour.
Mais qui est responsable de ces 8240 véhicules jours?
Ce pavage a éré réalisé pour permettre l’écoulement du trafic sur une file de circulation. Or dès l’élection de Christian Estrosi, celui -ci a décidé de revenir à deux files empiétant sur l’espace rendu aux piétons lors de la 1ere version du réaménagement de la place.
le 20 mai 2008, c’était la fête place Garibladi, le bouchon a sauté titrait le quotidien régional. On en voit aujourd’hui le résultat.
Tout est à reprendre. Que l’on se rassure, le pavage sera maintenu. Esthétiquement c’est préférable.
Mais cela coutera combien au contribuable niçois, qui n’en finit plus de payer pour des travaux déja réalisés dans cette ville.