Le 20 avril 2020 Notre groupe « Un autre Avenir pour Nice » #paulcuturello, #christinedorejo a alerté l’opinion publique sur la précarisation croissante des étudiants.

Cette alerte s’est faite par le biais d’une lettre que j’ai adressé au maire de Nice que j ai rendue publique. J’attirais son attention sur plusieurs cités, et notamment sur l’épicerie sociale de la cité Jean Médecin qui n’avait plus de stocks.

Le maire vient de répondre à notre groupe par un courrier dont je vous livre la substance.

Vous y apprendrez que  » depuis jeudi 16 avril 2020, 140 paniers de denrées alimentaires sont livrés chaque semaine aux étudiants identifiés par les services sociaux du CROUS et de l’Université.

Plus de 250 étudiants sur Nice en situation difficile ont été répertoriés par les services sociaux du CROUS et de l’Université.

L’intervention de notre groupe, a permis d’aller plus loin, en assumant notre rôle d’opposition constructive.

En effet. Faisant suite à notre interpellation publique, le maire indique que désormais 280 étudiants ont effectué une demande de paniers de produits frais.
Ces paniers, achetés par la Ville de Nice à la Chambre d’agriculture, contiennent des produits frais (fruits, légumes, œufs, fromage…) issus de la production locale et complétés par la cuisine centrale avec des œufs, du pain, éventuellement des yaourts et du fromage selon les disponibilités.

Ainsi la puissance publique prend le relais des associations tournées vers les maraudes comme « le café suspendu » Camille Santucci Fabienne Boyer qui ont joué leur indispensable rôle d’alerte.