Le permis de construire du futur MIN ( Marché d’Interet National) validé.

Le préfet du 06 vient de valider le permis de construire du futur Marché d’intérêt National à la Gaude. C’est une bien mauvaise nouvelle, pas tant pour ce transfert lui-même, mais par tout ce qu’il peut déclencher.
C’est le cheval de Troie du grand projet de restructuration de l’ouest de la ville et notamment du grand Arenas.
C’est le transfert du MIN qui permettra l’aménagement du futur PEX (palais des expositions) qui lui même permettra dans un second temps la démolition du Palais Acropolis à laquelle Nice au Cœur est résolument opposé. Personne ne sait comment le marché des congrès, et plus globalement le tourisme d’affaires évoluera post pandémie.

Commerces : Les 12 dimanches dérogatoires font débat !

La délibération du Conseil municipal pour déterminer les douze dimanches dérogatoires de l’année 2021 a entraîné des commentaires.
Il s’agit des dimanches suivants : Dimanches 10 et 17 janvier, 23 mai, 13 juin, 11 juillet, 29 août, 5 septembre, 28 novembre, 5, 12, 19 et 26 décembre 2021. Ces dates concernent les secteurs de l’équipement de la maison et de la personne, les centres commerciaux de Lingostière et Saint-Isidore ainsi que les magasins populaires.
Tout le monde est au chevet du petit commerce et a conscience que son sauvetage est indispensable à la cohésion sociale et économique de notre ville.
Néanmoins face à une situation sanitaire en évolution permanente, la demande du groupe Retrouver Nice (FN) de réexaminer les dimanches concernés n’est pas illégitime. Et la réponse de la majorité municipale est consternante et d’une rigidité hors de propos au regard de la situation que nous vivons.
Il suffirait que le maire saisisse le préfet pour modifier la date des dimanches ouverts. Nul doute qu’il rencontrerait une écoute bienveillante.
Ceci dit je ne partage pas l’analyse des deux groupes d’opposition. La décision d’imposer un couvre feu à 18 heures pour une durée indéterminée doit être prise en compte. Le chiffre d’affaire du mois de janvier va se trouver amputé et le risque d’affluence entre 16h et 18h dans les magasins ne peut être écarté.
La proposition que je mets sur la table et en débat est la suivante.
Pour 2021 on supprime les dimanches dérogatoires du 11 juillet et du 28 novembre.
On ouvre en compensation une dérogation pour les 4 dimanches de janvier : 10, 17, 24, 31 janvier. Cela permettrait aux magasins de ne pas subir de diminution d’horaires d’ouverture malgré le couvre feu de 18h et laisserait aux niçoises et niçois la possibilité de faire leur course le dimanche plutôt que de se précipiter avant 18h les soirs de la semaine.

Polygone Riviera et Auchan : la caricature des jauges

Il y a deux jours j’avais rédigé un post mettant l’accent sur le fait que nous devions tous être responsables pour le redémarrage de l’activité commerciale.
J’avais insisté sur le fait que chacun d’entre nous devait faire preuve de responsabilité afin de lisser nos achats en jouant sur les amplitudes d’ouverture des magasins, en essayant de ne pas trop flâner en intérieur pour ne pas vivre un 3eme désastre sanitaire.
Ce qui s’est passé à Polygone Riviera ce week-end ne peut que me conforter dans mes craintes, magasins saturés, longues files d’attente (heureusement en plein air)
A ces constats la direction répond que la jauge est fixée à 10160 clients et qu’à l’heure de pointe, samedi, il y avait un peu plus de 5500 personne. Bien.
A Auchan La Trinité la jauge autorisée est fixée à 2600 personnes. Même si le magasin est grand, c’est un espace clos.
Bref, que tout le monde continue à faire à sa tête, continue à penser qu’il ou elle passera entre les gouttes et donnons nous rendez vous aux alentours du 20 décembre. Nous verrons bien quel sera le résultat de tout cela sur la situation sanitaire du pays.

Restaurants: une initiative à soutenir.

Plusieurs restaurateurs niçois participent du 17 septembre au 17 novembre à l’opération « Retournons au restaurant » lancée par le site internet The Fork (Trip Advisor).
Le secteur de la restauration peine à retrouver son rythme d’avant-crise. Pour lutter contre un fatalité ambiant, . 21 restaurants de Nice participent du 17 septembre au 17 novembre à l’opération « Retournons au Restaurant », lancée par le site internet The Fork.
Les internautes pourront profiter de réduction de -50% sur la carte de chaque établissement, à condition d’avoir effectué leur réservation sur la plateforme.
Voici la liste des restaurants. A vos fourchettes et bon appétit.
Arkose Nice (Centre commercial Nice Valley, Nice) – Contemporain
Cumin & Cannelle (23 rue Marceau, Nice) – Indien
Le Curry (15 rue Saint-Philippe, Nice) – Indien
Le Transsibérien – l’Isba (1 rue Bottero, Nice) – Russe
Le Palenke – African food (6, rue e Lépante) – Africain
L’Oiseau d’Été (8, rue Dalpozzo) -Corse
Les Amalgames (1 boulevard Carnot) – Tunisien
Les Pêcheurs (18 quai des Docks) – Fruits de mer
Sushi Lune (26 boulevard Jean Jaurès) – Japonais
Un Régal (41, rue Hôtel des Postes) – Méditerranéen
Baieta (359, promenade des Anglais) – Italien
Charlie et Charlie ( 3, rue Smolett) – Crêperie
Pho 38 Nice (70 rue de France) – Vietnamien
Le Grand Chelem (63 boulevard Gorbella) – Français
Davisto (18, rue Saint Philippe) – Italien
Le Madison (13 rue du Commandant Raffali) – Français
Le VLT ( 4, rue de la Tour) – Cuisine du Monde
La Barque Bleue (7, quai des Deux Emmanuels) – Français
Beef Cut Grill (16 avenue de la République) – Grillade
Le Glouphile (41 boulevard Stalingrad) – Bar à vin
Le Feeling ( 14 rue Pertinax) –

Au quotidien de petites associations donnent du contenu au contrat de ville.

Très éloignées des grandes associations que l’on connaît tous, certaines associations reçoivent des subventions du contrat de ville pour animer les quartiers classés en politique de la ville.
C’est le cas de l’association Del’Art qui dispose de nouveaux locaux intéressants rue Trachel pour organiser de l’animation culturelle, des ateliers d’écriture, de dessin, de la danse, etc. Le nom de ce local : la trésorerie, tout un programme.
L’association s’efforce aussi de programmer une animation musicale tous les mercredi de 19h à 22h. C’était normal d’aller les encourager et de leur montrer qu’avec ou sans élus la gauche s’intéresse à leur travail. Et un plaisir d’échanger avec

Deborah de Blasi

qui était programmée un peu plus tard dans la soirée.