Violences scolaires : #pasdevagues

 

Un peu plus de deux mois après l’organisation d’une rencontre débat par Nice au Cœur sur les violences scolaires, le thème redevient d’une brûlante actualité.

Il s’agit d’un collégien passé à tabac par plusieurs de ses « camarades de collège ». Il s’agit du collège Ségurane en l’occurrence.

Bizarrement la mère l’a appris par un biais détourné, la direction de l’établissement n’ayant pas jugé utile d’ avertir la famille.

Et vous ? pensez-vous utile que les familles soient prévenues en cas d’incident important comme celui-ci ou vaut-il mieux que rien ne sorte de l’établissement ?

Pensez-vous que prendre cette décision est un plus pour l’enfant ou que seule la volonté de préserver l’image de l’établissement a primé ?

J’attends vos points de vue.

Moyens supplémentaires dans l’académie de Nice.

 

Il y aura 38 nouveaux postes dans les écoles primaires dont 14 dans les Alpes-Maritimes pour accompagner le dédoublement des CE1 en REP.
Il y aura aussi la création de 8 emplois dans le second degré pour accompagner la hausse du nombre de collégiens (+1738) sur toute l’académie.
Enfin 301 heures de fiscalistes et de socialisees seront par ailleurs implantées en collège.

J’aimerais avoir le sentiment des syndicats enseignants sur ces annonces.

Voilà ce que c’est du véritable interculturel avec Agora Nice Est

C’est à cela que je crois si l’on veut éviter ce que nous promet Gérard Collomb : Vivre face à face au lieu de vivre ensemble !

Très beau succès pour les soirées interculturelles. Ce soir Nice rencontre l’Espagne au son des guitares.

C’est l’occasion pour moi de rencontrer Amel Baccouche la présidente, Alice, sa directrice et toute leur équipe. Cette année le conseil citoyen est également présent.

 

Leyna, 8 ans, toujours sans école 20 jours après la rentrée : inacceptable !

C’ est un vrai coup de gueule que je pousse car chaque semaine je suis amené à tenter de régler de plus en plus d’injustices. Après Steve, Gaela, Micheline, Omar, Coralie et Rei, je vois présente Leyna 8 ans qui doit rentrer en CE2 et qui n’a toujours pas d’école.

Cette petite est arrivée à Nice cet été. Sa maman, avec ses deux filles sont hébergées chez une collègue de travail.

Certificat de radiation provenant de l’ établissement précédent fourni.
Certificat de pré-inscription à l’école de secteur fourni par la mairie.
En bref dossier complet!

Mais l’école de secteur refuse son inscription au motif que ses classes sont pleines. Il en est de même de deux autres écoles voisine. La direction de l’académie indique que cette affaire ne relève pas de sa compétence, la mairie ayant fait le certificat d’inscription.

Bref les écoles ne se parlent pas et tout le monde se fiche de ce que va devenir Leyna. Je reconnais que Jean Marc Giaume, adjoint à l’éducation s’est « bougé » mais sans résultat.

Me voilà donc contraint d’alerter la presse et l’opinion publique pour tenter de régler ce dossier et pour que Leyna soit rapidement intégrée.

L’école de la République n’a pas accompli sa mission et je le regrette profondément.

A partager au maximum !

Fin du portable dans les écoles et collèges !

La fin des portables

Les écoliers et les collégiens niçois seront logés à la même enseigne que partout en France.

Les téléphones portables seront interdits à la rentrée dans les écoles, les collèges, voire dans certains lycées : le Parlement a voté définitivement ces jours-ci, après un ultime passage devant l’Assemblée, une proposition de loi LREM, qui était un engagement présidentiel.

Je ne méconnais pas le débat en cours qui considère cette loi inutile puisque le Code de l’éducation interdit, depuis la loi du 12 juillet 2010, les portables « durant toute activité d’enseignement et dans les lieux prévus par le règlement intérieur ». Mais pour moi la force de la loi n’est pas qu’un slogan. Ce n’est plus laissé à l’appréciation du chef d’établissement, du règlement intérieur, ou du Conseil d’Administration ! Non c’est la loi ! Et j’y suis favorable.

Le texte interdit l’usage de tout objet connecté (portable, tablette, montre…) dans les écoles et collèges. Il prévoit cependant des exceptions « pour des usages pédagogiques », laissés à l’appréciation de chaque établissement dans son règlement intérieur, ou pour les enfants handicapés. Les activités liées à l’enseignement, mais à l’extérieur, comme le sport, seront aussi concernées.

Près de neuf jeunes sur dix de 12 à 17 ans (86 %) possèdent un téléphone portable en France. Or l’usage du portable perturbe la capacité d’attention en classe, le climat scolaire, réduit l’activité physique dans les cours de récréation, et expose parfois des contenus violents ou pornographiques.

Les lycées auront la possibilité, mais pas l’obligation, d’inscrire l’interdiction, totale ou partielle, du portable et autres objets connectés dans leur règlement intérieur. Les chefs d’établissement, pour qui la mesure est utile décideront des modalités d’interdiction (lieux, conditions), le ministère prévoyant un vade-mecum.

La méconnaissance de la loi pourra entraîner la confiscation de l’appareil, permettant « d’impliquer les parents au moment de la restitution ».