Avec 48 heures d’avance, les enseignes de la halle gourmande de la Gare du Sud

 

On connait les nouvelles enseignes de la Gare du Sud

La halle de la Gare du Sud va être inaugurée ce vendredi 17 mai. Ceux qui lisent ce post seront parmi les premiers à découvrir les enseignes de cette halle gourmande, ouverte au public dès ce samedi 18 mai.

Ramen Ta Faim
L’enseigne propose de la cuisine japonaise maison, convenant aussi bien aux végétariens qu’aux intolérants au gluten.

Mad A Nice
Un restaurant typiquement niçois. C’est ce que proposera Mad A Nice, enseigne dédiée à l’art culinaire et à la culture nissarte.

Mia Gelataria
Le concept est simple, prenez un mug et choisissez les parfums. Le prix se fera en fonction du poids  total.

La Cave du Fromager
Ce restaurant est un mélange de cave à vin et de fromagerie.

Les Burgers de Papa
Fait-maison avec des produits frais, les Burgers de Papa conviennent aussi bien aux carnivores qu’aux végétariens.

Emily and The Cool Kids
Cupcakes et autres bagels maisons feront partie des possibilités offertes dans la halle gourmande.

El Kitchen
El Kitchen s’inspire des recettes traditionnelles texanes et mexicaines.

Super Lobster
Venu des Etats-Unis, Super Lobster propose différents plats autour du homard français.

Les Amalgames
Cuisiné avec des produits frais, le couscous Koksi Cuisine de Les Amalgames se décline à toutes les sauces et tous les ingrédients.

On note également
IT (pizza italiennes),
Mahata (cuisine orientale),
Aix & Terra (produits du terroir),
Be Sushi, Grillé,
Goa Café,
Les Cocottes Françaises (restaurant gastronomique),
Maison de la Truffe,
La Vie en Rose,
Café de Turin,
Infinity Gourmand,
L’atelier du Panini,
J’Go (cuisine avec ingrédients locaux et frais), Pitaya (restaurant Thaï),
Alziari (moulin à huiles),
La maison du Citron,
Naturalia,
Festival du Peu et Laks, un restaurant fishbar.

Ainsi 28 enseignes gourmandes seront ouvertes dès samedi 18 mai au public.

A noter que des boutiques lifestyle seront également ouvertes dans les prochaines semaines.

Ce projet que nous avons soutenu et voté est un enjeu économique majeur pour la requalification d’un espace sur laquelle je reviendrai le jour de l’inauguration.

Les Mai ne sont pas un gadget de communication

 

Les Mai, ça prend ou ça ne prend pas.

Cela peut être un formidable instrument de popularisation de la culture niçoise, de la langue, de nos traditions.

Cela peut être aussi un pathétique copié collé plaqué par la mairie dans des quartiers sans véritable analyse préalable.

Le résultat n’est évidemment pas le même.

Les deux derniers Mai auquel je me suis rendu illustrent totalement mon propos. Et les photos sélectionnées le démontrent.

A la rue de Suisse, c’est un bide. A la rue Bautruch à Riquier, un formidable succès

Entre les deux il y a le Paillon. A Riquier nous sommes sur la Rive Gauche où les vieux niçois parlent encore le nissarte. C’est là où il y a les classes bilingues à l’école des Orangers. C’est, avec Saint Roch, le territoire de Nux Vomica, le siège de l’association Nissart per Tougiou. Autant dire qu’il y a un terreau sur lequel les Mai prospèrent depuis leur retour.

A la rue de Suisse, nous sommes dans un quartier qui s’est singulièrement paupérise, où les meublés prolifèrent, symbole d’une précarité de toutes les couleurs, de toutes les ethnies. Vouloir planter le mas de cocagne et la mourra à deux pas de l’avenue Jean Médecin, est un non sens.

En posant ce débat, je ne voudrais que certains l’interprètent en disant Allemand, il est contre les Mai rue de Suisse. Je suis pour, mais quand je vois qu’il y a moins de monde que l’an passé cela a une signification. Que s’est il passé entre deux Mai ? Rien.

Ceux qui étaient venu l’an passé ne sont pas revenus parce qu’ils se sont sentis étrangers, pas concernés. Vouloir faire les Mai dans un quartier où il y a 37 nationalités à l’école Auber nécessite un travail de longue haleine, une vie associative et une politique éducative ouverte vers les traditions niçoises.

C’est le seul moyen qu’il y ait pour ne pas plaquer un dispositif qui perd tout son sens.

Fête du Vieux Nice

 

Pendant 4 jours la fête du Vieux Nice s’est transformée en grande braderie. Près de 300 commerces en tout genre ont cassé les prix pour la plus grande joie des professionnels du shopping.

Mais au delà de l’aspect purement commercial cette fête révèle plusieurs aspects intéressants.

Il y a :

– une véritable dimension collective dans l’organisation de cette fête, un visuel commun défini à partir de ballons multicolores qui ornaient les devantures.

– une véritable convivialité. Il n y avait qu’à voir la place Rosetti, un des lieux de convergence

– le début d’une identité avec de nombreux restaurants proposant un menu spécial fête du vieux Nice.

Je persiste à penser qu’il est indispensable d’organiser ce type d’événements un peu partout dans les quartiers, à des dates différentes afin de permettre aux niçois et aux touristes de circuler dans la ville et de mieux découvrir les quartiers et leurs commerces.

Le torball un sport méconnu !

Je suis au 10 ème tournoi international de torball, une sorte de handball pour malvoyants qui se joue par équipe de trois. Il y a sur Nice un très bon club, « Anices ». Il faut un silence absolu car c’est le bruit du ballon roulant au sol qui renseigne le joueur sur la trajectoire du ballon.

Deuxième édition de la Journée mondiale du bonheur

J’y suis passé pour saluer les animateurs des stands. Il y avait du monde Place Pierre Gautier, une place remplie pour l’occasion de joie de sourires et de bienveillance. L’arbre du bonheur, réalisé par Carmy Convertino était en bonne place garni de post résumant la vision du bonheur des dizaines de participants. C’était aussi le jour du printemps avec Chantal Amary Berni, Emma Mbene. Laura Albanese