Covid19 : Vivons nous dans le même monde ?

Une situation totalement surréaliste est en train de se dessiner.

En Europe, le déconfinement se poursuit à un rythme inégal mais converge vers une levée progressive des contraintes sans pour autant que l’épidémie ne reprenne.
C’est cela qui provoque les situations inadmissibles telles que celles qu’on a pu voir à Paris ou même dans certains quartiers du Vieux Nice le soir de la fête de la musique.

L’Europe a versé un lourd tribu au Covid19, la France, l’Italie et l’Espagne plus particulièrement. Mais le relâchement est là, les gens ont de moins en moins peur.

A l’opposé, le point, pays par pays, sur une pandémie qui «continue de s’accélérer» ne peut qu’inquiéter. Et là les gens ont de plus en plus peur.

L’Organisation mondiale de la santé met notamment en avant le fait qu’un million de cas a été signalé en seulement huit jours. Si le virus circule moins en Europe, l’épidémie continue sa progression notamment en Amérique latine et en Afrique.

Une nouvelle fois, l’OMS tire le signal d’alarme. La pandémie de Covid-19 « continue de s’accélérer », a mis en garde ce lundi le directeur général de l’organisation, Tedros Adhanom Ghebreyesus.

Au total, plus de neuf millions d’individus dans le monde ont désormais été infectés depuis le début, dont plus de la moitié en Europe et aux États-Unis.

« Il a fallu plus de trois mois pour que le premier million de cas soit signalé. Le dernier million de cas a été signalé en seulement huit jours », s’est alarmé le dirigeant. Et même en seulement sept jours, selon les données de l’université John Hopkins.

La situation se dégrade fortement au Brésil, au Pérou et au Mexique, mais aussi en Inde. L’épidémie repart en Russie, en Chine, en Iran. Elle est alarmante aux États Unis.

Ainsi l’Europe ballotée dans les premiers semaines apparaît presque comme un refuge désormais sans que la moindre explication rationnelle ne puisse le justifier.

Alors continuez à penser aux autres et prenez soin de vous.

Racisme : Patrick Vieira signe une tribune dans le journal l’Equipe, une démarche forte

 

En réaction au mouvement Black Lives Matter, l’entraîneur de l’OGCNice appelle à la mobilisation de tous et de toutes les franges de la société pour « éradiquer un virus qui nous ravage depuis tant de siècles et semble encore plus incurable que les autres ».

« Tolérer l’intolérance, c’est se rendre coupable. Accepter la non-sanction, c’est accepter notre impuissance. Se contenter d’être spectateur du crime impuni, c’est assumer notre complicité. Se taire, c’est acquiescer ».

Réaction à la prise de position de Georges Trova.

 

Comme nous l’avons déjà indiqué dans la presse, Nice au Cœur ainsi que le Parti socialiste des Alpes maritimes, appellent à voter blanc, dimanche 28 juin. C’est un acte politique qui a été voté à la quasi unanimité.

Mais je tiens à préciser que toutes les personnes se sont engagées sur notre liste de Nice au Cœur pour les élections municipales sont des femmes et des hommes libres. Libres de penser, de s’exprimer, de proposer, et s’agissant du deuxième tour des élections municipales de dimanche prochain, libres de prendre « individuellement » position « en conscience ».

Le choix fait par Georges Trova ne lui enlève en rien ses qualités humaines, sa sympathie, et surtout son engagement de longue, en faveur du quartier de l’Ariane ainsi que des Arianencs.

Notre plateforme citoyenne de Nice au cœur
n’est ni une organisation sectaire, ni militaire. Pour l’avenir et les prochains combats politiques que nous mènerons, les personnes de bonne volonté, progressistes, humanistes,
ayant envie d’améliorer le quotidien de notre population, de nos quartiers, continueront
d’être les bienvenues à Nice au cœur. Et je sais pouvoir compter sur Georges Claude Trova

30 km/h en ville : un vrai débat.

Dans le projet de Nice au Cœur, la limitation de vitesse à 30 /h était à l’ordre du jour. Non pas sous la forme d’une généralisation mais sous forme d’une extension<

Nous proposions, quartier par quartier, en liaison avec les comités de quartier et les conseils de quartiers de définir ce qui devait rester à 50 km/h et ce qui pouvait être abaissé à 30 kms / .

Il en était ainsi de la totalité des groupes scolaires mais il fallait aller plus loin notamment à proximité de grands équipements publics, de zones 30 s’imposant d’elles mêmes en cas de réduction du nombres de voies de circulation, etc.

Nous voulions promouvoir cette démarche avec un objectif précis, diminuer de 25% le nombre d’accidents matériels et corporels afin de rendre la ville plus apaisée et plus sûre.

Par contre étendre la zone 30 à toute la ville ne me paraît pas être une bonne solution.