La mort d’Alain Barrière

 

En me remémorant les grands tubes d’Alain Barrière connu pour ses tubes « Ma vie », « Elle était si jolie » ou « Tu t’en vas », surtout « tu t’en vas » une certaine mélancolie m’envahit.

Alain Barrière était le chanteur préféré de mon père. Ces airs là je les ai entendu je ne sais combien de fois et je suis sur qu’en fouillant bien, au fond du garage, je retrouverais un jour quelques vinyls 45 tours.

Audit des établissements scolaires : mutisme de la mairie

 

A deux reprises, les 17 septembre et 3 décembre 2019, le groupe « Un Autre Avenir pour Nice » a saisi l’adjoint délégué à l’Éducation, Jean-Marc GIAUME, pour obtenir un audit des établissements scolaires portant notamment sur l’isolation et le diagnostic thermique.

En effet, les parents d’élèves attirent notre attention sur la vulnérabilité de certains établissements scolaires (Nice Flore par exemple) aux variations de températures, allant jusqu’à nécessiter des chauffages d’appoint l’hiver et le retrait de l’école des enfants dans les situations de grosses chaleurs.

A ce jour et malgré une relance en date du 3 décembre, il n’y a aucune réponse de la mairie.

Le camp des Milles

 

Le camp des Milles était un camp d’internement et de déportation français, ouvert en septembre 1939, dans une usine désaffectée, une tuilerie, au hameau des Milles près d’Aix-en-Provence

Numéro 187 » est une création artistique pluridisciplinaire coproduite par le centre socio-culturel Jean-Paul Coste et la Compagnie Mémoires Vives en partenariat avec le Site mémorial du Camp des Milles.

Il s’agit d’un spectacle pluridisciplinaire mélangeant danse hip-hop, danse contemporaine, théâtre, rap et vidéo, qui s’inspire librement de l’ouvrage “Le Diable en France” de Lion Feuchtwanger et plus particulièrement des artistes internés au Camp des Milles durant la Seconde Guerre Mondiale.

Cette œuvre contemporaine est évolutive puisque la Compagnie Mémoires Vives permet à chaque acteur d’écrire son texte. Par ailleurs chaque danseur amène sa gestuelle donc à chaque saison il faut recréer dynamique évolutive.

Numéro187 raconte une fiction qui prend ses racines dans l’histoire du camp des Milles.
Nous sommes dans un futur, proche ou lointain. Un pouvoir autocratique et totalitaire s’est installé par les urnes, porté par le populisme et nos abandons successifs aux sombres desseins. S’en suivent la haine de l’Autre, la déshumanisation des êtres etl l’élimination par la sélection.

Le Camp des Milles, devenu Lieu de Mémoire, est ré-ouvert et affecté à l’internement, à la mise en quarantaine et à la guérison des « inutiles », « des malades » et des « déviants ». S’y retrouvent des artistes libres-penseurs d’origines et d’horizons divers. Comme d’autres avant, ici même, ils vont réaffirmer l’art comme outil de résistance et d’humanité. Comme le firent avant eux les« internés » de 1940, victimes de l’indolence administrative et du Diable en France. Ils furent à l’époque libérés par un fonds de pension parce que les artistes ont une valeur.

Ce soir la troupe de la Compagnie Mémoires Vives était à Nice au Forum Nice Nord à l’invitation de la MJC Agora Nice Est. Elle s’est produite ce matin devant 200 élèves et ce soir devant les réseaux associatifs. Une bien belle initiative d ‘Amel Baccouche et d’ Alice Pereira, financée par l’ADILCRA et la ville de Nice.

Les équipes du Forum Nice Nord et de la MJC Agora Nice Est ont été renforcées par un partenariat plus large avec les associations Pari Mixité, Page, la Semeuse, etc.

Compagnie mémoire vive chacun à écrit son texte bio qui sont importantes pour eux. Chaque danseur amène sa gestuelle donc à chaque saison il faut recréer une dynamique évolutive.
Résister par l’art. L’art pour résister. Avec quel texte vous voulez résister.

Arrivée de la ligne 2 du tram au port de Nice.

 

Ce matin c’était l’ inauguration.
Des milliers de niçois étaient là et j’étais à leurs côtés parce que c’est la démocratie. J’avais boycotté l’inauguration du souterrain parce que je m’y étais opposé.
Aujourd’hui, c’était différent. C’était la totalité de la ligne 2 qui rendra beaucoup de services à de nombreux niçois ce n’était pas le jour de rappeler :
Que c’est un chantier qui a coûté plus d’un milliard d’euros avec de nombreux dépassements et autant d’avenants très loin des 450 millions d’euros promis initialement.
Que ce chantier n’améliore pas le confort de déplacements des Niçois et qu’il a fallu remettre en circulation de nombreux bus et des lignes pour permettre un maillage de la ville que ne permet pas le tram.
Que la cause indirecte de la mise en service du tram cause biens des désagréments avec ce verdissement irréfléchi qui gêne commerçants, services de secours, livreurs et déménageurs.
Que le gain en qualité de l’air n’est pas ce qui était escompté
Que le déport essentiel vers la ligne 2 concerné les usagers du bus et bien moins les automobilistes.
Que le temps aéroport port de Nice ne sera jamais celui de 26 mns annoncés par le maire, mais de 33 mns.
Autant de questions qui restent en suspens mais qu’aujourd’hui il fallait oublier, le temps de cette inauguration.

Hommage au Berger

 

J’étais présent à l’hommage au Berger hier soir Place Garibaldi. Nous étions une centaine, contents de nous retrouver. J ‘ai été bien accueilli par les supporters un peu étonnés de me voir là mais ravi de s’entendre dire que le Berger était le patrimoine commun de tous les amoureux du Gym.

Ensuite direction le 1 bd Carnot pour l’inauguration du nouveau restaurant de Samia El Mabrouk, Les Amalgames, où vous pourrez déguster des couscous créatifs.