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Méta
Il y a 30 ans, le mur de Berlin tombait !
C’est dans la nuit du 12 au 13 août 1961 que la RDA érigeait le mur de la honte pour tenter de mettre fin à l’exode de ses habitants vers la RFA.
Pendant 28 ans, Berlin a été séparée en deux Berlin Est et Berlin Ouest
Il s’agissait en fait d’un double mur de 3,6 m de haut avec un chemin de ronde, 302 miradors, 14 000 gardes et 600 chiens et du barbelé partout. Réputé infranchissable, ceux qui s’y sont risqué y ont souvent laissé la vie.
C’est l’effondrement de l’URSS en quelques mois, imprévisible pour le commun des mortels, la Pérestroïka conduite par Mickaël Gorbachev et les grandes manifestations qui eurent raison de ce symbole de la guerre froide, qui fut cassé et éventré dans la nuit du 8 au 9 novembre 1989.
C’etait il y a 30 ans et pourtant cela me semble si proche. Je me souviens de ce formidable espoir qui naissait, qui ouvrait la porte à la réunification allemande que François Mitterrand n’avait pas vu venir, et à l’élargissement de l’union Européenne.
Nous avions tous conscience, en regardant à la télévision tout ces jeunes franchir le mur, sauter et se retrouver en zone libre, que nous avions le privilège de vivre un grand moment de l’histoire contemporaine.
C’est de Berlin que j’ai ramené ce morceau de mur qui est aujourd’hui dans la bibliothèque (photo 1).
J’ai encore en mémoire, Daniel Billalian, qui commentait le JT en direct et ces images tellement fortes du violoncelliste Rostropovitch jouant devant le mur de Berlin, pour la jeunesse allemande.
Lorsque je suis allé à Moscou avec Jean Marc Ayrault et Michel Vauzelle en fin 2012, j’avais demandé à aller au cimetière de Novedievitchi, qui est un peu le cimetière du Père Lachaise de Moscou. Ce n’est pas la tombe de Boris Elstine que je suis allé voir (on ne peut pas la manquer tant elle est imposante) mais celle plus modeste de Rostropovitch, en souvenir de ce 9 novembre 2019 qui m’a marqué à vie.
Publié dans Commémoration, Histoire
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Transports publics : des convergences sur Nice à gauche
A l’invitation de Nice en Commun la gauche s’est retrouvée hier soir pour évoquer la question cruciale des transports publics.
Robert Injey et Philippe Pellegrini ont évoqué les récentes conclusions des études reliant pollution atmosphérique et santé publique et les questions liées à l’étalement urbain.
D’un débat relativement riche et qui a fatalement débordé sur le port et l’extension de l’aéroport, il est ressorti plusieurs zones de consensus.
– la dissuasion financière comme contrainte d’utilisation de la voiture accroitrait les inégalités sociales.
– la nécessité d’un report modal mieux organisé vers les transports en commun notamment pour les vélos.
– la gratuité des transport, comment la finance-t’on ? Trois pistes font consensus : la taxe de séjour acquitté par les entreprises, la taxe de séjour acquittée par les touristes, enfin une taxe sur le SUV ( gros véhicules)
Pour notre part je suis intervenu assez longuement sur 3 points :
– la desserte du tram en rappelant que l’enjeu majeur était la desserte de l’Ariane et de La Trinité où notre collaboration avait été exemplaire. En rappelant aussi la nécessité de désenclaver les Liserons par un accès au réseau TER par une halte sur la ligne SNCF Nice Tende.
– le report modal tram bus qui n est pas satisfaisant car le tram a été pensé en substitution des bus alors qu’il fallait raisonner en complémentarité. Les nombreux ajustements en cours le démontrent et il faudra avoir une approche plus fine du maillage.
– le financement de la gratuité du réseau de transport. J’ai confirmé mon accord sur les pistes de financement envisagées à l’ exception d’une. J’ai dit que j’étais hostile à l’idée d’une taxe sur les plus values immobilières le long du tracé de la Ligne 2. Cela n’a semble t’il pas posé de problèmes.
Tout le monde a convenu d’aller déposer son dire auprès du commissaire enquêteur chargé de l’extension de l’aéroport.
Xavier Garcia Fouzia Ayoub Elena Sanfilippo Annie Promonet Joel Rami Jean-Jacques Palos Nicolas Delaire Michele Viale Michèle Spizzo
Publié dans Transports
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AirBnb, Un décret plus contraignant va entrer en application le 1er décembre
Selon un décompte du CRT, la plateforme AirBnb représenterait 20% des séjours effectués sur la Côte d’Azur en 2018. Elle pourra être amené à fournir aux communes, une fois par an, la liste détaillée des logements loués sur sa plateforme. Il s’agit d’instaurer davantage de transparence dans cette nouvelle pratique locative.
On ne peut que souscrire à cette démarche qui permettra aussi de lutter contre la fraude fiscale.
Le texte va plus loin que l’arrêté mis en place par certaines communes, comme à Nice, qui demande déjà aux propriétaires de déclarer chaque logement loué sur une plateforme d’hébergement et fixe une limite à 120 jours par an. Toutes les communes pourront désormais demander une liste des logements mis en location, ainsi que le nombre précis de jours pendant lequel le bien concerné aura été loué.
A Nice, les hôteliers sont mobilisés vent debout contre le développement de ces plateformes ( il y en a d’autres). On peut le comprendre même si je maintiens qu’il ne s’agit pas de la même clientèle. Mais entendre que la plateforme Airbnb
est une cause majeure de la difficulté à se loger, les propriétaires d’appartement préférant passer par ce format plus lucratif qu’une location « classique », ce n est pas audible chez nous. Ici la pénurie ce n’est pas AirBnb, c’est le résultat d’une politique délibérée de construction de logements sociaux trop faible par rapport aux besoins.
Il n’a vraiment peur de rien !
Voilà Christian Estrosi qui demande le gel de la hausse du prix de l’autoroute et qui dénonce les bénéfices records des sociétés autoroutières depuis 2006, date des privatisations des autoroutes
Mais il oublie de dire qu’il a été ministre de l’Aménagement du territoire du 2 juin 2005 au 15 mai 2007 sous le gouvernement Villepin qui a mené ces privatisations dont il a été un acteur clef.
Publié dans Estrosi
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