Européennes un sondage alarmant !

 

Bien qu’alarmant le résultat du dernier sondage des élections européennes n’ est pas une surprise.

Sans surprise, LREM est en forte baisse. Encore crédité de 26 27% des voix avant l’été, LREM est évalué à 21,5%. Désormais le Rassemblement National le talonne avec 21% des intentions de vote.

Le score de LREM démontre que les français n’ont pas encore choisi le sens qu’ils veulent donner à cette élection : un enjeu véritablement européen ou un vote sanction contre le gouvernement.

Malgré tous ses efforts, Macron ne parvient pas à éliminer totalement du jeu Wauquier et les LR situés autour de 14%

La France insoumise de Mélenchon garde un socle non négligeable de 12,5%.

Les autres partis de gauche se trouvent à des niveaux très inquiétants.
EELV est à 5% ce qui est très bas pour une élection qui est traditionnellement bonne pour eux.
Le PS, à 4,5% ne parvient pas à enrayer sa descente aux enfers, ce dont ne profite pas particulièrement Benoît Hamon autour de 4%
Le PCF crédité de 1,5% est au plus mal.

L’électorat de gauche est en quête d’autre chose. Notre responsabilité c’est de le proposer la où nous en avons les moyens, c’est à dire localement.

C’ est pour cela que nous avons crée Nice au Cœur, cette plateforme citoyenne, en dynamique, qui poursuit son développement.

Le retrait de Jacques VICTOR est une perte pour la Gauche niçoise

 

J’apprends la décision de Jacques VICTOR de ne pas se représenter aux prochaines élections départementales. Je tiens à rendre hommage à toute l’action politique de ce militant communiste avec lequel j’ai eu l’honneur d’être élu au Conseil général des Alpes-Maritimes en 1998, puis en 2004.

Nous avons mené de nombreux combats communs tant les questions posées à nos cantons voisins étaient proches en matière de logement, de transports, de politique de la ville. Nous les avons mené ensemble face à la Droite et à l’extrême droite au nom de ce que nous pensions être l’intérêt de nos concitoyens.

Des divergences sur la politique nationale nous ont récemment éloignés mais cela n’altère en rien l’estime que je lui porte. Il demeurera la dernière personnalité de la grande tradition communiste des quartiers Est de notre ville de Nice, dans le sillon tracé par Virgile BAREL et Charles CARESSA.

Je demeure persuadé que si la main tendue au Front de Gauche par le Premier Secrétaire fédéral du PS, Xavier GARCIA pour un accord local avec des candidatures uniques de la Gauche avait été saisie, le Parti socialiste n’aurait jamais présenté de candidat dans le canton de Jacques VICTOR.

Patrick ALLEMAND
Conseiller municipal de Nice et conseiller métropolitain de Nice Côte d’Azur
Président du groupe « Un Autre Avenir pour Nice »

Invitation à la Présentation de mes Voeux 2013

Je serais heureux de vous accueillir autour d’une

Galette Républicaine

lors de la présentation de mes Voeux 2013.

Je vous attends pour partager un moment musical, convivial, et gourmand !

Dimanche 13 Janvier à 16h

Salle Black Box – CAL Bon Voyage
2 Pont René Coty à Nice 
 

Afin de faciliter l’organisation, merci de confirmer votre présence par mail à : contact@patrickallemand.fr

L’économie sociale et solidaire doit être au coeur du changement !

La relance de la production et la croissance sont deux conditions indispensables à la création de nouveaux emplois. Pour impulser un changement de modèle et créer une nouvelle dynamique conciliant des efficacités économiques, sociales et environnementales, l’économie sociale et solidaire constitue, pour François Hollande, un puissant levier.

C’est pourquoi, s’il est élu président de la République, il proposera très rapidement une loi de programmation, prenant en compte les manifestes de « Coop de France », de la confédération générale des Scop et d’autres familles de l’économie sociale, afin d’appuyer le développement de ce secteur ces cinq prochaines années et ainsi soutenir le déploiement, à plus large échelle, des solutions innovantes portées par ses acteurs.

L’économie sociale et solidaire doit devenir, a-t-il affirmé, un partenaire permanent et à part entière de l’Etat comme des collectivités territoriales. Une politique interministérielle sera mise en place en ce sens dès les 100 premiers jours de la présidence et une part significative des financements de la future banque publique d’investissement sera consacrée aux projets des coopératives, mutuelles, associations et entreprises solidaires, en lien avec les institutions financières de l’économie sociale et solidaire. Le financement des associations sera sécurisé (pluri-annualité) et modernisé pour favoriser l’innovation sociale.

La reprise d’entreprises saines par les salariés, sous la forme de coopératives, sera également encouragée à travers l’instauration d’un « droit de préférence », couplé à un « droit à l’estimation de la valeur de l’entreprise ». Cette reprise sera cofinancée par l’entreprise et par la collectivité, afin de relever le défi de la transmission des PME aujourd’hui sans successeurs, tout comme des filiales dont les maisons mères souhaitent se séparer.

Ce partenariat avec l’économie sociale et solidaire s’incarnera également en matière de création d’emplois, priorité du candidat :

– les associations bénéficieront largement des 150 000 emplois d’avenir ;

– les dispositifs de création d’emplois d’insertion par l’activité économique (IAE) seront « déverrouillés », avec pour objectif le cap des 500 000 emplois en cinq ans ;

– les coopératives d’activités et d’emploi ainsi que les sociétés coopératives d’intérêt collectif, représentant des solutions collectives et pérennes de création de nouvelles activités et d’emplois, seront soutenues ;

– les règles d’attribution des marchés publics seront révisées pour s’ouvrir davantage à l’économie sociale et solidaire et une place sera faite aux employeurs de ce secteur dans le dialogue civil.